« La Bolivie est un acteur souvent perçu comme étant radical dans les négociations internationales sur le climat. Le pays n’hésite pas à prendre place dans les discussions et à alimenter les négociations avec des interventions choquantes, des lettres qui mobilisent ou même en se retirant avec fracas des groupes de discussions, comme ce fut le cas à Cancún afin de dénoncer le statu quo (Allix et Kempf 2010). Depuis la Conférence mondiale des peuples sur le changement climatique en 2010, le gouvernement d’Evo Morales est considéré comme un portevoix des courants altermondialistes combattant pour la cause écologiste (Poupeau 2013, 109). »
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